La nouvelle n’a pas fait grand bruit mais c’est bien un site de 105 salariés qu’on veut fermer à Argentré du Plessis à partir du 1er juillet.
Cette entreprise fabriquant des portes emploie 650 personnes en France sur 3 sites (Eauze, dans le Gers, Ussel, en Corrèze et Argentré du Plessis en Ille-et-Vilaine) a décidé, en raison "des difficultés sur le marché de la construction", de fermer son site d’Ille et Vilaine pour rapatrier la production sur les deux autres sites. La direction s’engage à conserver (...)
Un article très documenté de Médiapart décrit la manière dont la société CONDOR FERRIES qui assure une grande partie des liaisons Saint-Malo - Iles anglo-normandes se joue du Code du Travail et de la protection sociale de ses salariés...et comment le patronat local qui dirige la Chambre de Commerce et d’Industrie, concessionnaire du port, est "mouillé" dans cette affaire.
Les documents de Médiapart peuvent être téléchargés ci (...)
Mobilisation significative ce jour à Saint-Malo où le F-HAINE organisait un "buffet-patriotique" régional en présence de la députée M. Maréchal-Le Pen.
Bravant le froid et la grêle plus de 200 personnes se sont rassemblées à Saint-Malo, face au palais du Grand-Large, pour dénoncer les thématiques racistes et xénophobes développées par le FN, ceci à l’appel du NPA,de la Ligue des Droits de l’Homme, du PS, de l’UDB, d’Ensemble et d’Europe-Ecologie-les Verts.
L’objectif était de combattre la banalisation de (...)
Une fâcheuse habitude : les menaces, y compris physiques, à l’encontre de journalistes commencent à devenir monnaie courante chez certains cadres et dirigeantEs du Front national. Dernier exemple en date, celles proférées à l’encontre d’une collaboratrice de Mediapart, à propos desquelles le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « menaces de mort ».
« Je vais te tuer, Marine ! Je vais te retrouver ! Je vais t’attendre en bas de chez toi ! » Ces propos ne visaient pas Marine Le Pen... mais une (...)
Vendredi 20 février, notre camarade Alain Pojolat comparaîtra une nouvelle fois devant la justice pour avoir selon la préfecture de police appelé cet été à deux manifestations interdites en soutien au peuple palestinien lors de l’opération criminelle contre Gaza. Alors qu’une relaxe avait été prononcée en première instance, le ministère public, c’est-à-dire l’État, a fait appel de la décision montrant une nouvelle fois sa complicité avec le gouvernement israélien.
Juillet 2014, l’armée sioniste engage une (...)